Je ne peux manquer l'occasion de brancher cet excellent blog. Le prétexte : un conte à la fois exquis et sensible.
Aimez-vous lire ?: Tristan et Yseult (version Joseph Bédier)
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Un blog pour éviter d'oublier le texte.
Des réflexions désordonnées, isolées, intempestives.
À chaque fois, une incursion hasardeuse pour ouvrir le livre autrement.
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lundi 20 février 2012
mardi 24 janvier 2012
Frankenstein : Perception trouble et ambivalence des sens
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi-mPixIyudGsDW4LxKJ-XEYhhg4VYH8pypdHLngwLqRpeg_PhMd8QlH8k_3jnQgE0ARktnNPgP98SGBrNSzWhyFASozmZx_witORqCGoZC-u34QakNld6PfsWzI6wKsQEvIIN-RYELLyUO/s200/220px-Frontispiece_to_Frankenstein_1831.jpg)
« Ses membres étaient proportionnés entre eux, et j’avais choisi ses traits pour leur beauté. Pour leur beauté ! Grand Dieu ! Sa peau jaune couvrait à peine le tissu des muscles et des artères ; ses cheveux étaient d’un noir brillant, et abondants ; ses dents d’une blancheur de nacre ; mais ces merveilles ne produisaient qu’un contraste plus horrible avec les yeux transparents, qui semblaient presque de la même couleur que les orbites d’un blanc terne qui les encadraient, que son teint parcheminé et ses lèvres droites et noires. »
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